Le mois dernier, Le Parisien rapportait un « afflux inédit de travailleurs détachés roumains dans les abattoirs Gad ». Cette société d’abattage et de découpe de porc breton a été placée en redressement judiciaire en février 2013, et a été « sauvée » par le Tribunal de commerce de Rennes au prix du licenciement de près de 900 employés.
Contrairement à ce que certains politiciens peu scrupuleux ont avancé, la directive Bolkestein n’a rien à voir là-dedans, puisque qu’elle a été enterrée en 2006, et à raison.
Mais alors comment diable des salariés historiques...